Messages : 315 Date d'inscription : 09/11/2009 Age : 50 Localisation : physiquement en France mais mon cerveau est à Londres
Sujet: Re: les défis de Yeles Mar 9 Mar - 15:58
Dois-je comprendre que tu souhaites les passages NC17 ?
Antoinette complétement accroc à John
Messages : 2553 Date d'inscription : 02/10/2009 Localisation : District 12
Sujet: Re: les défis de Yeles Jeu 18 Mar - 18:51
Au risque d'être traitée de coquine une fois encore, tu n'aurais pas un p'tit défi qui ne demande qu'à être publié?? (pas forcément NC 17, hein ) Y a du laisser-aller chez les auteurs de ce forum...
Johanne complétement accroc à John
Messages : 1541 Date d'inscription : 03/12/2009 Age : 66
Sujet: Re: les défis de Yeles Jeu 18 Mar - 19:31
Oui !
yeles a écrit:
Dois-je comprendre que tu souhaites les passages NC17 ?
yeles In love de John
Messages : 315 Date d'inscription : 09/11/2009 Age : 50 Localisation : physiquement en France mais mon cerveau est à Londres
Sujet: Re: les défis de Yeles Mer 7 Juil - 13:37
Allez, un petit nouveau... même tarif que pour les précédents ^^
Spoiler:
Titre : Contact lenses
Résumé : Pusskers se promène dans le hub…
Spoilers : Pusskers vient de « the Sin Eater » un audiobook de Torchwood
Disclaimer : Torchwood appartient à la BBC. Je n’en attends aucune rémunération quelconque…
bêta : Missy
Note(s) de l'auteur : en réponse au défi lancé par Missy – utiliser les lentilles de TW
Citation :
Pusskers déambulait gracieusement dans les couloirs du hub. Elle avait élu domicile dans les quartiers généraux de Torchwood depuis ce fameux jour où, après une chute vertigineuse depuis le bas de la fontaine, elle avait atterrit sur le visage accueillant et confortable de Ianto. Le jeune homme ne lui en avait pas tenu rigueur, il avait même fini par lui faire une petite place dans un coin du hub pour y installer sa litière. Elle aimait bien cet endroit. Ses occupants étaient très gentils avec elle, tout particulièrement le plus grand avec qui elle se sentait si bien. Elle aimait sa compagnie. Il avait quelque chose de réconfortant et d’attirant et elle se réfugiait souvent dans sa chambre pour y dormir.
D’ailleurs, c’était précisément là qu’elle se rendait. La nuit était tombée depuis longtemps et seuls les cris de Myfawny résonnaient dans le hub. Dans la pénombre ambiante, Pusskers se dirigeait sans aucune difficulté. Les chats voient parfaitement dans le noir, c’est un fait bien connu. Elle se glissa dans le bureau de Jack et entendit des murmures provenant de la trappe qui permettait d’accéder à la chambre où elle aimait tant se rendre. Prudemment, elle passa la tête par l’ouverture et inspecta l’endroit.
La lumière était tamisée et elle vit que ses deux maîtres étaient occupés à discuter, assis sur le bord du lit. D’un bond souple et discret, elle sauta sur la petite commode qui se trouvait dans l’angle et se lova sur la chemise bleue qui s’y trouvait. Elle était encore chaude d’avoir été portée toute la journée. Sereine et apaisée, Pusskers s’installa tel un sphinx d’albâtre et resta là, à fixer les deux hommes.
Jack passait délicatement sa main dans les cheveux de Ianto. Les derniers jours qu’ils avaient vécus avaient été très éprouvants et les deux hommes avaient grandement besoin de réconfort. Tout particulièrement le jeune gallois qui avait été malmené par une troupe de harpies en furie sortie tout droit de la faille et qui avait semé la panique dans le quartier du port. Avec l’aide de Gwen et les renforts envoyés par Andy, ils avaient fini par en venir à bout. Ils étaient parvenus à rétablir le calme assez rapidement mais Ianto portait sur lui les stigmates des sévices qu’il avait subi. Ces femmes s’étaient montrées particulièrement vicieuses à son égard.
Lorsque Jack descendit la main le long de la tempe du jeune homme, celui-ci tressaillit en poussant un petit gémissement plaintif. Il était couvert d’ecchymoses et ses muscles étaient encore courbaturés.
J – Elles ne t’ont vraiment pas épargné mon pauvre. Quand je pense que nous n’avons plus de médecin. Tu es sûr que tu ne veux pas aller à l’hôpital ?
I – Non Jack. J’ai juste besoin d’un peu de repos. Je me sens bien, enfin aussi bien que possible.
J – Vraiment ?
En prononçant ce mot, Jack posa lourdement sa main sur l’épaule de Ianto qui ne put réprimer une grimace.
I – Ok, pas si bien que ça sans doute. Mais j’ai juste besoin que l’on s’occupe un peu de moi.
Il fixa Jack avec une petite moue suppliante qui en disait long sur ses intentions. Il n’avait pas besoin d’être soigné, il avait juste besoin d’être avec lui.
J – Et tu as mal ailleurs ?
I – Ici…
Ianto montra sa main écorchée au capitaine. Celui-ci la prit dans la sienne délicatement et commença à embrasser doucement la paume en remontant depuis le creux du poignet. Avec une tendresse infinie, il frotta lagoureusement son nez sur les doigts du gallois. Il retourna la main du jeune homme et reprit ses baisers avec et, tandis qu’ il était en train de sucer avec gourmandise les doigts de Ianto, il le fixa avec convoitise.
J – Et maintenant ?
D’un geste nonchalant, Ianto indiqua son épaule gauche au capitaine.
I – Là…
Jack entreprit de défaire les boutons de la chemise de son amant. Il la fit glisser et la laissa tomber au pied du lit. Ianto frissonna en sentant le souffle chaud du capitaine frôler sa peau meurtrie. Les douces caresses de son amant commençaient à libérer chez le gallois des endorphines. Une intense sensation de bien-être montait progressivement, faisant peu à peu disparaître la douleur. Jack effleura sensuellement le bras du bout des doigts, remonta jusqu’à l’épaule puis redescendit aussi lentement et laissa sa main s’attarder sur celle du jeune homme.
Il sentait son amant qui se détendait avec délice. La « Harkness’touch » opérait une nouvelle fois et il comptait bien en profiter. Il se mit alors à parcourir le torse de Ianto avec de petits baisers savamment déposés ça et là, sur des endroits qui étaient encore si sensibles quelques instants auparavant. Il s’arrêta ensuite et recula pour le regarder. Le jeune homme avait basculé légèrement sa tête en arrière, tout à son plaisir. Surpris de ne plus sentir les douces lèvres de son capitaine sur sa peau, il se redressa et regarda l’autre homme. Jack avait une légère étincelle de malice dans le regard.
J – Tu as mal ailleurs ?
I – Euh… là ?
Timidement, Ianto montra ses lèvres du bout de l’index. Voyant cela, Jack se mit à sourire. Sa gourmandise galloise venait de lui donner sa bénédiction pour aller plus loin et il ne s’en priva pas. Il s’approcha et déposa ses lèvres sur celles de Ianto, tendrement, par à-coup, ouvrant sa bouche un peu plus à chaque contact. Puis il appuya son baiser et glissa sa langue dans la bouche du jeune homme, à la recherche de sa jumelle qui frémissait d’envie.
Tandis qu’elles s’étaient engagées dans une valse endiablée, Jack fit pivoter habilement Ianto pour le faire s’allonger sur le lit. Le gallois s’était attaqué à la chemise du capitaine pendant que celui-ci retirait ses bretelles avant de défaire les boutons de son pantalon. Le jeune homme passa ses mains sur la taille de Jack puis les fit glisser de concert sous le lourd tissu de flanelle qui recouvrait encore ces fesses musclées qui l’attiraient tant.
J – Je constate que tu n’as plus mal aux mains en tout cas.
I – Tais-toi et viens…
Une nouvelle fois, Jack sourit et regarda Pusskers avec une moue d’appréciation. La chatte regardait fixement les deux hommes, ronronnant sous l’effet du bien-être qui se dégageait dans la pièce. Ianto n’avait pas remarqué la présence de l’animal. Si ça avait été le cas, il ne se serait sans doute pas abandonné aussi rapidement sous les caresses expertes du capitaine.
J – C’est si gentiment demandé, je ne vais pas refuser.
En moins de temps qu’il ne fallut pour le dire, le reste des vêtements avait été enlevé et jeté au sol. Jack était allongé sur le côté, à la droite de Ianto. Il laissait distraitement courir ses doigts sur la peau du jeune homme, remontant de la taille jusqu’à l’aisselle puis il les fit descendre sur l’aine, encouragé par les soupirs de plaisir que poussait Ianto.
Le capitaine se pencha vers son amant et l’embrassa une nouvelle fois pendant qu’il continuait d’abreuver celui-ci de caresses savantes au creux des cuisses, évitant diaboliquement de toucher autre chose comme il passait de l’une à l’autre. Son petit jeu faisait tourner la tête de Ianto qui sentait le désir monter en lui. N’y tenant plus, il attrapa la main du capitaine et l’attira là où il voulait tant qu’elle se rende, ce qu’elle fit, sans se faire prier.
Pour vous faire patienter en attendant le mp :ninja
Citation :
Pusskers était redressée sur la commode, le poil hérissé, anormalement effrayée. Intrigué, Jack se dégagea et se dirigea vers l’animal. Il se pencha vers elle, la regarda attentivement et poussa un cri qui fit sursauter Ianto.
J – L’enfoiré ! Attends un peu…
Nerveusement, il pianota sur son bracelet et bientôt une image trouble apparut dans la pièce. Après une petite mise au point, Ianto put reconnaître avec effroi la silhouette qui brillait au milieu de la pièce. John Hart était en train de remonter précipitamment son pantalon mais pris sur le fait, il s’arrêta à mi-chemin.
Jo – Harkness, que me vaut le plaisir ? Oh, salut Eye-candy, belle performance à propos.
J - Dis-donc fumier, on ne t’a pas convié que je sache. Et tu peux me dire comment tu les as récupérées ?
Jo – Elles trainaient sur le bureau de Tosh, je me suis dit que ça pourrait être amusant.
I – Jack ? Il parle de quoi là ? ! ?
J – Tu n’as pas compris ? Ce petit vicelard a mis les lentilles de contact au chat.
I – Lentilles de contact ? Les lent… rooooooooooooh !
Blême, réalisant ce qui s’était passé, le jeune homme remonta piteusement le drap sur lui tandis que le capitaine se rhabillait précipitamment.
J – Ne bouge surtout pas, je vais lui régler son compte et je reviens.
Jo – tout de suite, les grands mots. Si on ne peut plus s’amuser…
J – Non, on ne peut plus. J’ai tracé ta position. Je ne peux pas aller loin avec ça, mais crois-moi, je pourrai t’atteindre quand même.
Ianto vit son amant disparaître subitement. Il resta prostré, honteux et blessé. Pusskers sauta sur le lit et se coucha contre lui pour le réconforter, comme pour se faire pardonner d’avoir été, l’espace d’un instant, le complice d’un voyeur imprudent.
Antoinette complétement accroc à John
Messages : 2553 Date d'inscription : 02/10/2009 Localisation : District 12
Sujet: Re: les défis de Yeles Jeu 8 Juil - 19:55
La sale bêêêêêêêêête! Je m'en rappelais plus du chat, je vais devoir le réécouter ce super audiolivre
Hmm, que dire, tu veux vraiment pas que la température baisse, hein, Yeles?! C'est mignon, c'est malsain (je sais pas ce que vous avez, Missy et toi, à décrire des ébats devant de pauvres animaux innocents ) et puis c'est très drôle. Avec en plus ma guest-star préférée à la fin Ouh, et la répartition des tâches me satisfait pleinement Techniquement, je me demande si c'est possible par contre (ils ont les yeux aussi ronds que nous? Y a pas trop de paupières? :study: )
Tu aurais pu, par exemple, développer un "Pendant ce temps-là, John..." plutôt que de le garder pour la fin ^^'