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| | On the road again ! | |
| | Auteur | Message |
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duam78 Admire John
Messages : 182 Date d'inscription : 13/02/2009 Age : 46 Localisation : entre le HUb et ma maison avec mon Tiny mari
| Sujet: On the road again ! Mar 20 Avr - 22:18 | |
| titre : On the road again... Résumé : Un voyage en train peut vous emmener bien plus loin que vous le pensiez ... Spoilers : PAS DE SPOILERS Disclaimer : Doctor Who appartient à R.T. Davies et à la BBC. Je fais ça juste pour le fun, sans en attendre une quelconque rémunération. Note de l'auteur : Suite de Meeting the Doctor et en quelque sorte suite de Willy, the Doc and me de Yeles ^^ Chapitre 1 - Un voyage en train peut vous réserver des surprises... - Spoiler:
- Citation :
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Seule assise sur un banc du hall de la gare de Nantes, j’attendais le train pour Paris qui devait arriver dans 30 minutes. J’étais debout depuis plus de 3 heures, et il n’était que 8h du matin… La journée serait longue. Mes yeux étaient fixés sur le billet que je tenais à la main, mais ils semblaient ne pas le voir. C’était comme si le billet était invisible, mes yeux fixaient un point imaginaire sur le sol. Pourquoi fallait-il absolument que j’aille à cette formation sur les archives… et en plus, elle durait toute la journée jusqu’à 18h30 … Je n’étais pas couchée… je rentrais le soir même sur Challans… Je levais les yeux vers l’horloge, 8h10. Que le temps passe lentement lorsque l’on s’ennuie ! Je plongeais ma main dans mon sac et en ressortis un livre, pour essayer de faire passer le temps, mais je n’avais pas la tête à lire, encore moins un livre en anglais ; j’avais emporté The Stone Rose, un livre sur Doctor Who. Je me demandais pourquoi j’avais pris celui-là, alors que je devais finir le Dan Brown que j’avais acheté deux jours auparavant… je fermai les yeux, laissant mon esprit vagabonder, là où il le souhaiterait, et comme chaque fois que je le faisais, il m’emmenait toujours au même endroit, au même moment, il y a un peu plus de quatre mois… Noël… les Christallites et Lui, le Docteur … J’étais spectatrice de ce moment, comme si je le voyais sur un écran de cinéma… C’était la dernière fois que je l’avais vu… l’image devint plus nette, nous étions dans le Tardis, à Chartres, sur le parvis de la Cathédrale… Il venait de me proposer de voyager avec lui, pour « mériter » mon rang de Lady of the Tardis, celui qu’il avait trouvé en consultant le Forum Beans on Toast... J’étais aux anges, j’allais voyager avec le Docteur, le dernier des Timelords… Il avait déjà appuyé sur les commandes de dématérialisation avant même que je ne finisse ma phrase dans laquelle je lui disais que j’acceptais, bien évidemment. Il avait le sourire aux lèvres, moi aussi et nos yeux pétillaient d’excitation et d’impatience… Soudain, je vis l’intérieur du Tardis pâlir et devenir transparent, la cathédrale se devinait au travers du décor corail. Le Docteur devenait, tel un fantôme, pâle et translucide… son sourire s’était transformé en un rictus mêlant peur et incompréhension. Ses yeux me fixaient, lui et le Tardis étaient en train de disparaître, mais sans moi… Le Docteur me disait quelque chose, mais je ne comprenais pas, sa voix n’était plus qu’un murmure… avant qu’il ne disparaisse totalement, je réussis à lire sur ses lèvres, une phrase qui me glaça le sang, une phrase que je détestais entendre lors des diffusions des épisodes à la télévision, celle que, j’aurais mis ma main à couper, il n’avait et ne dirait jamais dans la « vraie » vie : Je suis désolé, tellement désolé… J’étais là, plantée comme un pauvre sapin solitaire, à quelques mètres à peine de mon ancien collège… La neige avait commencé à tomber, recouvrant la pelouse, transformant le vert de l’herbe en un tapis de coton blanc. J’étais immobile, les yeux et les joues humides des larmes qui coulaient toutes seules. Il était parti, il m’avait laissée là. Mon unique chance de devenir sa compagne de voyage venait de s’envoler… Que s’était-il passé ? Je frissonnai, et m’aperçu que j’étais en simple gilet dehors par -3°. Mon manteau était resté à bord du Tardis, sur la rampe d’accès… Super, en plus d’être abandonnée, j’allais attraper la crève !!! Sortant enfin de ma transe, je m’étais alors dirigée vers la maison de mon père, consciente que je ne reverrais peut-être jamais plus le Docteur de ma vie… Voix : Le train à destination de Paris va entrer en gare voie 2.
La voix de Mme Seuneuceufeu me fit sursauter, mon cœur battait au moins à 100 pulsations par minute, proche de la tachycardie… Maudissant intérieurement l’hôtesse, je me levai pour aller vers le quai n°2, qui était bien évidement à l’opposé du lieu que j’avais choisi pour m’asseoir… comme toujours… Le TGV finissait de ralentir lorsque je pénétrai sur le quai. Je me dirigeai vers le composteur automatique et la machine émis son bruit particulier. Il fallait maintenant que je trouve le wagon n°10, et la place n°42. Je souris intérieurement en regardant ces deux nombres… Atteignant enfin le wagon, je montais les trois marches et tournais à gauche. La place 42 était une des quatre places centrales. J’aimais bien ces places, car si la chance était avec moi, personne ne serait en face et je pourrais étaler mes jambes… Une fois installée, je posais le livre sur la « table », rangeais mon billet, là où je pourrais le retrouver lors du contrôle et laissais mon regard vagabonder au travers de la vitre. 5 minutes s’étaient écoulées lorsque je sentis la secousse indiquant que le train allait quitter la gare. Dans 2h30, je serais à Paris. Je n’avais qu’une envie, sécher la formation pour aller me promener dans un parc, m’asseoir et profiter du beau temps qui avait été annoncé à la radio. Le bercement du train eut raison de mes derniers essais pour garder les yeux ouverts, et je sombrais dans un profond sommeil. Voix : Billet s’il vous plaît ! La voix du contrôleur me réveilla en sursaut. Elle venait de derrière moi, elle avait un je ne sais quoi de familier, c’était peut-être ce petit reste d’accent à peine perceptible, mais un accent venant d’où ? Mon regard fut attiré par le temps à l’extérieur. La pluie frappait violemment la vitre, un orage avait dû éclater alors que je dormais… Comme d’habitude, Mr Météo s’était planté… Revenant à ce qui était le plus urgent, je pris mon sac pour chercher mon billet que j’avais rangé à l’intérieur avant le départ du train. Je farfouillai partout, la panique commençait à me gagner… Où était ce satané billet ????
Le contrôleur : Bonjour Mademoiselle, Billet s’il vous plait !
Ça y est, il était juste à coté de moi, et je ne le trouvais pas …
Maud : Oui, bonjour, excusez-moi, je le cherche, j’étais persuadée de l’avoir rangé dans mon sac, et je n’arrive pas à remettre la main dessus… Le contrôleur : Ne vous pressez pas, nous, les hommes, nous savons bien que les sacs des femmes sont bien plus grands à l’intérieur qu’à l’extérieur ! Les mots prononcés par le contrôleur eurent pour effet de me faire stopper ma recherche… Il devait avoir vu mon livre, et connaissait la série … il savait que cette phrase me ferait réagir… Je sentis son corps se rapprocher de moi et vit une main passer à ma hauteur et se diriger vers le livre. Ses doigts agrippèrent une enveloppe coincée entre deux pages. Les Billets !!! Ils m’avaient servit de marque page… Quel boulet je peux être parfois … Je n’osais pas le regarder, j’avais un peu honte… Il valida le billet et me le rendit. Le contrôleur : Merci et passez un bon voyage Mademoiselle, ou devrais-je dire Lady of the Tardis ???
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| | | missy Fan de John
Messages : 233 Date d'inscription : 12/11/2009 Age : 38 Localisation : nancy
| Sujet: Re: On the road again ! Mer 21 Avr - 12:53 | |
| Me voili, me voilou! Mais dis donc tes histoires, ça se passe toujours avec toi qui quitte le coin où tu habites. A croire qu'il ne se passe jamais rien par chez toi. - Citation :
- J’étais debout depuis plus de 3 heures, et il n’était que 8h du matin… La journée serait longue.
un petit coup de vitamine et ça repart! - Citation :
- Pourquoi fallait-il absolument que j’aille à cette formation sur les archives… et en plus, elle durait toute la journée jusqu’à 18h30 … Je n’étais pas couchée… je rentrais le soir même sur Challans…
oulà, l'aller retour dans la journée... jte plains, c'est douloureux! - Citation :
Que le temps passe lentement lorsque l’on s’ennuie écris une fic - Citation :
- je n’avais pas la tête à lire, encore moins un livre en anglais ; j’avais emporté The Stone Rose, un livre sur Doctor Who.
ben surtout après avoir toi-même vécu une aventure... ça doit être rageant de lire celle des autres... - Citation :
Je me demandais pourquoi j’avais pris celui-là, alors que je devais finir le Dan Brown que j’avais acheté deux jours auparavant… ah tiens lequel? il y en des biens moyens... Enfin moi j'ai craqué sur le petit camerlingue dans Anges et Demons... ma tête quand j'ai vu qu'il le jouait au ciné - Citation :
- il y a un peu plus de quatre mois
ça passe vite! - Citation :
- J’étais aux anges, j’allais voyager avec le Docteur, le dernier des Timelords…
Tu m'étonnes, la chance! - Citation :
Il avait le sourire aux lèvres, moi aussi et nos yeux pétillaient d’excitation et d’impatience… *sautille autour de la console* - Citation :
- Le Docteur devenait, tel un fantôme, pâle et translucide… son sourire s’était transformé en un rictus mêlant peur et incompréhension.
merde... qu'est-ce qu'il se passe? - Citation :
- une phrase que je détestais entendre lors des diffusions des épisodes à la télévision, celle que, j’aurais mis ma main à couper, il n’avait et ne dirait jamais dans la « vraie » vie : Je suis désolé, tellement désolé…
ohhhhhh - Citation :
J’étais là, plantée comme un pauvre sapin solitaire, à quelques mètres à peine de mon ancien collège… sympa l'image^^ - Citation :
J’étais immobile, les yeux et les joues humides des larmes qui coulaient toutes seules. calinou - Citation :
- Que s’était-il passé ?
ma pauvre, 4 mois que tu te poses toujours la même question... - Citation :
- Mon manteau était resté à bord du Tardis, sur la rampe d’accès…
bne j'espère que t'as pas laissé ton clé et tes papiers dedans... - Citation :
- La voix de Mme Seuneuceufeu me fit sursauter,
ioulà j'ai mis deux sec à caller! - Citation :
- je me levai pour aller vers le quai n°2, qui était bien évidement à l’opposé du lieu que j’avais choisi pour m’asseoir… comme toujours…
euh y a des panneaux pour éviter ce genre de petits soucis - Citation :
- J’aimais bien ces places, car si la chance était avec moi, personne ne serait en face et je pourrais étaler mes jambes…
rohhh c'est pas bien de mettre les pieds sur le siège! - Citation :
rangeais mon billet, là où je pourrais le retrouver lors du contrôle tu fais comme moi: dodo avec le billet dans la main. - Citation :
- 5 minutes s’étaient écoulées lorsque je sentis la secousse indiquant que le train allait quitter la gare
une secousse? t'es dans un vieux tacot ou quoi? - Citation :
- Dans 2h30, je serais à Paris. Je n’avais qu’une envie, sécher la formation pour aller me promener dans un parc, m’asseoir et profiter du beau temps qui avait été annoncé à la radio.
aller voir la tour eiffel! *resautille* - Citation :
- Le bercement du train eut raison de mes derniers essais pour garder les yeux ouverts, et je sombrais dans un profond sommeil.
Voix : Billet s’il vous plaît ! il attend qu'on s'endorme je crois, pour venir réclamer le billet! ce sont des vicieux! - Citation :
elle avait un je ne sais quoi de familier, c’était peut-être ce petit reste d’accent à peine perceptible, mais un accent venant d’où ? ohhhh??? - Citation :
- Comme d’habitude, Mr Météo s’était planté…
ça devient rare les erreurs... - Citation :
- Où était ce satané billet ????
archiviste.. organisation... rangement... je ne dirais rien de plus... - Citation :
- Le contrôleur : Ne vous pressez pas, nous, les hommes, nous savons bien que les sacs des femmes sont bien plus grands à l’intérieur qu’à l’extérieur !
c'est un petit comique celui là... mais cette phrase??? bigger on the inside??? - Citation :
Il devait avoir vu mon livre, et connaissait la série … il savait que cette phrase me ferait réagir… J héhé un fan de who univers à rencontrer comme ça, ça serait sympa! - Citation :
Quel boulet je peux être parfois … jdis rien, jdis rien... - Citation :
Le contrôleur : Merci et passez un bon voyage Mademoiselle, ou devrais-je dire Lady of the Tardis ??? c'est lui, c'est lui! choppe le par le fond du pantalon Duam et ne le laisse pas repartir! | |
| | | Antoinette complétement accroc à John
Messages : 2553 Date d'inscription : 02/10/2009 Localisation : District 12
| Sujet: Re: On the road again ! Dim 25 Avr - 23:57 | |
| Ça c'est vraiment ignoble de sa part, abandonner quelqu'un après lui avoir promis un voyage!!!! Quand on voyage, parfois le temps file, parfois il s'arrête, on ne saurait même pas dire pourquoi Le contrôleur qui fait une remarque sur le sac, c'est pas Maud, c'est Joséphine!!! Un mec qui fait une allusion à Doctor Who, je lui aurais quand même jeté un regard, c'est pas souvent... "Lady of the TARDIS", ça, ça ne peut vouloir dire qu'une seule chose (et j'aiiiiime que tu aies posté cette fic dans la section cross over, j'espère pas être déçue hein sinon ça va saigner ) Imaginer DT dans un uniforme de la SNCF, ça me fait un peu froid dans le dos quand même (Dinoo, si tu me lis... ) | |
| | | duam78 Admire John
Messages : 182 Date d'inscription : 13/02/2009 Age : 46 Localisation : entre le HUb et ma maison avec mon Tiny mari
| Sujet: Re: On the road again ! Lun 26 Avr - 2:23 | |
| merci pour le com' Missy et Antoinette et Antoinette ... je peux te dire que tu seras pas déçue ce coup-ci ^^ Enfin j'espère Chapitre 2 - Retrouvailles- Spoiler:
[/center] - Citation :
Le contrôleur venait de m’appeler Lady of the Tradis … Avais-je bien entendu ? Ou étais-je encore en train de rêver ? Je ne m’étais sûrement pas réveillée… Je dormais encore, la tête collée à la fenêtre, avachie sur le siège, mes jambes posées sur le fauteuil d’en face… Et je rêvais, je faisais d’ailleurs souvent ce rêve, jamais dans les mêmes endroits d’ailleurs, cela dépendait de ce que j’avais à faire le lendemain… Cela se passait dans la rue, chez moi, au travail, sur la plage de St-Jean… Et aujourd’hui, c’était dans un train… Oui, c’est ça je rêvais…
Je relevais la tête pour voir si le contrôleur était toujours dans le wagon. Il était arrivé à la dernière personne du couloir et allait franchir les portes pour se rendre dans le suivant. Le slouch particulier du son d’ouverture des portes des trains se fit entendre et il pénétra dans le sas.
Je restais pétrifiée sur le siège. Juste avant qu’il ne disparaisse, j’avais entraperçu ses chaussures… Des chaussures d’un ton beige et j’aurais parié que c’était des converses… Mais cela ne se pouvait…
Machinalement, je me pinçais pour me forcer à me réveiller… Mais au lieu d’ouvrir les yeux, je ne ressentis qu’une vive douleur dans l’avant-bras gauche. Non, c’était limpide maintenant, je ne rêvais pas …
Je m’extirpai du double siège et remontai le couloir jusqu’aux portes. Rien d’étonnant ni de bizarre n’était visible dans l’entrée. Je jetais un coup d’œil à gauche et à droite. Rien. Tout était calme et là où cela devait être… J’avançais machinalement et ouvris la seconde porte amenant au wagon suivant. En entrant, j’eus juste le temps d’apercevoir celui que je suivais passer les portes suivantes. Une bouffée d’adrénaline monta en moi, je courrais presque entre les sièges pour le rattraper, bousculant au passage des bras ou des pieds qui dépassaient. Une nouvelle porte, un nouveau sas, un nouveau wagon et toujours le même écart qui nous séparait. J’arriverai de toute façon à le coincer au dernier wagon… Il ne peut s’échapper d’un train en marche… C’était le 5e que je traversais, il n’en restait plus qu’un et après c’était la locomotive… J’allais enfin savoir si j’hallucinais (et dans ce cas là, direct chez le psy en rentrant) ou si c’était vraiment LUI, le Docteur…
La dernière porte. J’avançais lentement ma main vers le mécanisme d’ouverture, ce petit bouton vert qui me séparait de la réponse. Mon index vint se placer dessus mais n’appuya pas… J’hésitais… Si ce n’était pas lui… Comment allais-je réagir ? J’étais à peine remise de son brutal départ. Et je ne pourrais pas revivre ces quatre mois d’attente, d’espérance… Je retirais mon doigt du bouton et fis demi-tour. J’avais à peine parcouru la moitié du couloir que je retournais devant la porte. Ma main s’avança plus sûrement vers le bouton et pressa le mécanisme. Le slouch se fit entendre et là devant moi, ce n’était pas la seconde moitié de la double porte que se dressait, mais deux portes de bois bleu avec sur l’une une pancarte qui disait « Police Telephone Free for use of public … pull to open ». C’était lui… Enfin, elle… Enfin le Tardis… Il était là devant moi, les portes fermées, mais bien réel…
Réel ? Ou alors avais-je vraiment des hallucinations ? Ma main se posa sur le bois de la porte, rugueux, usé par le temps et les voyages dans l’espace… mais bien là. Je posais la main sur la poignée et j’allais pousser pour l’ouvrir lorsqu’elle me fut arrachée des mains.
Voix 1 : C’est pas trop tôt ! Elle est toujours aussi lente Docteur ?
L’intérieur du Tardis rayonnait devant moi, il n’avait pas changé d’un pouce, toujours ce même bazar organisé, toujours ce manteau posé négligemment sur la rampe et toujours cette lumière à la fois douce et aveuglante…
Et devant moi, adossé à la console, les bras croisés, les yeux rieurs et le sourire en coin… Le Docteur…
Voix 2 : Une tasse de café ou de thé mademoiselle ? Voix 1 : Vous devriez essayer, il fait le meilleur café au monde !
J’avançais machinalement sur la rampe menant au cœur du vaisseau, à la salle de commande, tout droit vers l’homme qui continuait à me sourire, sans me soucier des autres personnes présentes.
Maud : Vous ? Ten : Moi … Maud : …
Je ne savais pas quoi lui dire… En fait si, mais ça ne sortait pas de ma gorge. Mes sentiments étaient un mélange de surprise, d’excitation, de joie et de colère. Et je ne savais absolument pas lequel allait sortir le premier si j’ouvrais la bouche…
Ten : Maud ? Vous allez bien ? Maud : …
Il s’approcha alors de moi et me prit dans ses bras. Ils étaient d’une puissance insoupçonnée si on se fiait à son aspect « maigrichon ». J’étais bien, apaisée, heureuse…
Voix 1 : Hum Hum… Docteur, tu nous présentes ? Ten : oui, pardon…
Il desserra son étreinte, à mon grand regret, et je me retournais pour faire face aux deux autres passagers.
Ten : Maud, voici…
Remise de mes émotions et pleinement consciente de qui se trouvait là, je le coupais dans son élan pour répondre à sa place.
Maud : Capitaine Jack Harkness et Ianto Jones… Jack : Ravi de vous connaître Mademoiselle… Ten : Arrête ça tout de suite Jack ! Jack : Tu vas me la faire à chaque fois celle-là ??? Ten : Autant de fois que ce sera nécessaire… Ianto : Ravi également de vous connaître Mademoiselle, un café peut-être ? Maud : Avec plaisir Ianto, il paraît qu’il est vraiment délicieux… Ianto : C’est ce que certains disent… Jack : Et à lui tu lui dis rien ? Ten : Lui, j’ai pas besoin…
Je m’emparais d’une tasse de café encore fumante et me tournai vers les deux hommes se chamaillant. De vrais gamins ces deux-là… Je m’apprêtais à m’adresser au Docteur pour lui dire combien j’étais heureuse de le revoir, mais les mots qui sortirent de ma bouche ne furent pas ceux-là.
Maud : Vous m’avez abandonnée !
Un silence glacial emplit la pièce, Jack me regardait, médusé, Ianto regardait le Docteur attendant la réponse et le Docteur était figé sur place, son visage était sombre et ses yeux embrumés.
Ten : Oui, je sais, je suis déso… Maud : Oh non… Ne dites pas ça, surtout ne le dites pas… Ten : J’ai dû aller aider un jeune garçon et sa mère, le Tardis a pensé que c’était trop dangereux et vous a laissée sur place, il l’a fait pour vous protéger… Maud : Et le téléphone, vous ne connaissez pas ??? Ça fait quatre mois !! J’étais arrivée à un point où je pensais que j’avais inventé cette histoire de toutes pièces, vu que vos « amis » se sont chargés d’effacer la moindre trace de ce qui s’était passé … Jack : Ouhou ! Mais c’est que la demoiselle a du caractère, je commence à l’apprécier de plus en plus !!! Ten : Jack… Non !
Et Jack parti dans un éclat de rire qui fit fondre la tension qui régnait dans la salle. Son rire était tellement communicatif, que nous ne pûmes nous retenir et nous nous joignîmes à lui. Même Ianto esquissa un petit sourire. Le fou rire passé, je regardais le Docteur et lui dit :
Maud : Je ne vous en veux pas en fait, j’aurais tellement aimé venir avec vous… Ten : Et bien, dans ce cas, allons-y !!!
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| | | missy Fan de John
Messages : 233 Date d'inscription : 12/11/2009 Age : 38 Localisation : nancy
| Sujet: Re: On the road again ! Jeu 29 Avr - 16:50 | |
| allez hop, je me mets au chapitre 2: alors ces fameuses retrouvailles! - Citation :
- Il était arrivé à la dernière personne du couloir et allait franchir les portes pour se rendre dans le suivant.
Mais mais, ne le laisse pas partir! Choppe-le! - Citation :
j’avais entraperçu ses chaussures… Des chaussures d’un ton beige et j’aurais parié que c’était des converses… Mais cela ne se pouvait… mais siiiiiiiiiii! allez zou! Jaillis de ton siège et cours lui après. - Citation :
- Mais au lieu d’ouvrir les yeux, je ne ressentis qu’une vive douleur dans l’avant-bras gauche
ahaha bien fait... - Citation :
- Je m’extirpai du double siège et remontai le couloir jusqu’aux portes.
enfin!!!! - Citation :
- C’était le 5e que je traversais, il n’en restait plus qu’un et après c’était la locomotive
vous jouez à cache cache en fait? quand même pas la version de Jack??? - Citation :
J’allais enfin savoir si j’hallucinais (et dans ce cas là, direct chez le psy en rentrant) les petits hommes en blanc, la camisole! Rien de nouveau en fait! - Citation :
- J’avançais lentement ma main vers le mécanisme d’ouverture, ce petit bouton vert qui me séparait de la réponse.
ah bon? c'est un bouton vert par chez toi? - Citation :
- e retirais mon doigt du bouton et fis demi-tour
coup de pied aux fesses missyen! nan mais t'y retournes de suite! Tu chopes le numéro de téléphone de Jack pour moi et seulement après tu pourras repartir! - Citation :
- Enfin le Tardis… Il était là devant moi, les portes fermées, mais bien réel…
ahahah trop fort!! le tardis fait un petit voyage en train. Il a payé un supplément bagage pour ça? - Citation :
- Voix 1 : C’est pas trop tôt ! Elle est toujours aussi lente Docteur ?
C'est qui? c'est qui???? *voix mega curieuse* Mais c'est vrai que t'as mis le temps! - Citation :
- L’intérieur du Tardis rayonnait devant moi, il n’avait pas changé d’un pouce, toujours ce même bazar organisé, toujours ce manteau posé négligemment sur la rampe et toujours cette lumière à la fois douce et aveuglante…
gros soupir personnel... - Citation :
- Et devant moi, adossé à la console, les bras croisés, les yeux rieurs et le sourire en coin… Le Docteur…
ah il est cro mimi quand il a cette tête! Il est mega pouiky! - Citation :
Voix 2 : Une tasse de café ou de thé mademoiselle ? Voix 1 : Vous devriez essayer, il fait le meilleur café au monde ! Naaaaaan!!! Eux dans le tardis? Qu'est-ce qu'ils font là!!! - Citation :
- tout droit vers l’homme qui continuait à me sourire, sans me soucier des autres personnes présentes.
ah je ne sais pas si je ferais ça... vu qui sont les deux autres! - Citation :
- Maud : Vous ?
Ten : Moi … belle repartie! - Citation :
- Ten : Maud ? Vous allez bien ?
Maud : … Tss tss et tu osais te moquer de mon bug hein! - Citation :
Il s’approcha alors de moi et me prit dans ses bras. Ils étaient d’une puissance insoupçonnée si on se fiait à son aspect « maigrichon ». J’étais bien, apaisée, heureuse… gnaaaaaaa un calinou!!! - Citation :
- Maud : Capitaine Jack Harkness et Ianto Jones…
Yes!! J'avais raison! - Citation :
- Jack : Ravi de vous connaître Mademoiselle…
Ten : Arrête ça tout de suite Jack ! Jack : Tu vas me la faire à chaque fois celle-là ??? Ten : Autant de fois que ce sera nécessaire… alala le duo de comique, eux deux! - Citation :
- Ianto : Ravi également de vous connaître Mademoiselle, un café peut-être ?
Maud : Avec plaisir Ianto, il paraît qu’il est vraiment délicieux… Ianto : C’est ce que certains disent… Jack : Et à lui tu lui dis rien ? Ten : Lui, j’ai pas besoin… ahaha il fait confiance à Ianto! Jack va bouder!!! - Citation :
- Maud : Vous m’avez abandonnée !
tu peux fonder une ligue avec Jack! "le docteur nous a abandonné" - Citation :
Un silence glacial emplit la pièce, Jack me regardait, médusé, Ianto regardait le Docteur attendant la réponse et le Docteur était figé sur place, son visage était sombre et ses yeux embrumés. Duam ou comment couper une bonne ambiance! - Citation :
Ten : J’ai dû aller aider un jeune garçon et sa mère, le Tardis a pensé que c’était trop dangereux et vous a laissée sur place, il l’a fait pour vous protéger… dis donc le tardis a ses preferences... héhé si tu savais qui c'était cette jeune femme et son fils hein... - Citation :
- Jack : Ouhou ! Mais c’est que la demoiselle a du caractère, je commence à l’apprécier de plus en plus !!!
Ten : Jack… Non ! ohhhh Jack aime les filles de caractère!!! HUm hum... - Citation :
Son rire était tellement communicatif, que nous ne pûmes nous retenir et nous nous joignîmes à lui. et parfois pas discret du tout aussi, son rire... mais on l'aime comme ça notre Jack! Exubérant! - Citation :
- Ten : Et bien, dans ce cas, allons-y !!!
hiii trop cool, tu vas vraiment voyager avec lui cette fois-ci! Et avec deux beaux males en prime! Cte chance | |
| | | Antoinette complétement accroc à John
Messages : 2553 Date d'inscription : 02/10/2009 Localisation : District 12
| Sujet: Re: On the road again ! Ven 30 Avr - 17:45 | |
| Elle s'appelle Pond, Maud Pond, et elle a du caractère (imagine, la pauvre Amelia l'a attendu la moitié de sa vie...) Un TARDIS, ça rentre dans le TGV? Je n'en reviens pas que tu appelles Ianto "Ianto" et pas "monsieur Jones", tu as été élevée où?! Et Jack, ah là là D'ailleurs, qu'est-ce qu'ils font là Jack et Ianto? Et pourquoi ils te veulent? (même si tu n'es pas rapide ) | |
| | | duam78 Admire John
Messages : 182 Date d'inscription : 13/02/2009 Age : 46 Localisation : entre le HUb et ma maison avec mon Tiny mari
| Sujet: Re: On the road again ! Dim 9 Mai - 20:36 | |
| Chapitre 3 - Oh, Oh… Problèmes…- Spoiler:
- Citation :
Le Docteur se pencha pour activer le Tardis, mais je le coupai dans son élan.
Maud : Ohlà… minute papillon… Il se figea dans la position qu’il avait prise et qui ne devait pas être agréable… avachi sur la console, une jambe en l’air pour faire contrepoids afin de ne pas tomber et le bras tendu vers le levier d’activation du piston central. Malgré cette position des plus inconfortable, il ne bougeait pas, il avait simplement tourné la tête vers moi et me regardait interloqué. Maud : Vous croyez qu’il vous suffit d’arriver sur votre cheval blanc avec votre beau sourire pour que l’on vous suive aveuglément ? Jack : Touché ! (*en français dans le texte) Ianto : Jack, je ne crois pas que ce soit le moment … Ten : Vous ne voulez pas venir ? Maud : Je … J’ai jamais dit ça… Mais avant de partir bille en tête, j’aimerai bien savoir ce qui se passe et pourquoi les 2/3 de Torchwood sont à bord ? A peine avais-je dit cette phrase que je le regrettais déjà. Comment avais-je pu oublier la peine qu’ils avaient eue il y a quelques mois. Toshiko et Owen étaient morts. Je me retournais vers Jack et Ianto dont les visages s’étaient assombris par la tristesse. Ianto avait les yeux pleins de larmes, à deux doigts de les laisser couler, ceux de Jack étaient pareil, mais il savait se retenir. Je regardais les deux hommes tour à tour, j’étais triste avec eux, mais également vraiment mal à l’aise… Maud : Jack, Ianto, je suis désolée… Je ne voulais pas… Je… Jack : Ne t’inquiètes pas, il nous faudra encore un peu de temps pour nous y habituer, là c’est encore frais dans nos mémoires. O..Owen et Tosh nous manquent mais nous continuons pour eux… Maud : Ils seraient fiers de vous, j’en suis sûre. Pour interrompre le silence pesant qui s’était installé, Le Docteur prit les choses en main. Ten : Jack a intercepté une communication venant d’une planète pacifiste faisant cas d’un dérèglement climatique inhabituel. Il m’a contacté et comme à Cardiff, c’est assez calme en ce moment, ils sont venus avec moi, Gwen ayant préféré rester avec Rhys. Et comme cela ne me semble pas dangereux, car j’y suis passé il y a quelques temps, en simple visiteur, je me suis dit que c’était la meilleure occasion de payer ma dette et de tenir la promesse que je vous avais faite. Maud : O..kay… et c’est quelle planète ? Ten : Barcelona ! Maud : Vous plaisantez ? Ten : Non, pourquoi ? Maud : Barcelona ? LA planète Barcelona ? Celle des chiens sans truffe ? Jack : Vous m’aviez prévenu qu’elle vous, heu… nous connaissait bien, mais là, je suis soufflé… Y’en a beaucoup qui savent que vous existez réellement… Ten : à ma connaissance, ils doivent être… attends… Maud, Isabelle, Willy, Laurence et Marc… 5 ! Jack : Vous savez que ce sont des couvertures, ces séries, quand même, si tout le monde est au courant, autant arrêter et tout révéler ! Maud : Doucement Cowboy ! Déjà, on n’est pas tout le monde, et je peux vous dire que ni moi, ni Isabelle, ni les autres ne vous « dénonceront », ni vous, Jack, ni le Docteur… Ten : J’ai une entière confiance en eux Jack… Ils m’ont aidé, plus qu’ils en avaient le devoir, sans jamais rien demander en retour. Sentant que cela n’allait amener nulle part, je décidais de reprendre les choses en main. Maud : Bref… Alors, on le fait ce petit voyage ? Et afin de détendre l’atmosphère et d’embêter un peu les deux membres de Torchwood (car quand j’aime bien les gens, je les taquine, j’y peux rien, c’est automatique)
Maud : Au fait Ianto ? Ianto : Oui ? Maud : Cette histoire de Chronomètre, elle est vraie ? Ianto : Chrono… non… heu… non… Jack : Tu ne sais vraiment pas mentir Ianto … Ianto se mit à rougir sous le commentaire de Jack qui affirmait ce que lui voulait infirmer. Jack était fier de sa farce et un sourire éclatant lui barrait le visage. Ten : Bon, si on y allait ? Maud : En avant toute Doct… À peine avais-je fini ma phrase que le Tardis fut secoué de toute part. Nous nous accrochâmes à ce que nous pûmes mais les secousses étaient trop fortes. Je lâchai ma prise et allai percuter la console centrale, la tête la première dans un Bang magistral qui résonna dans l’ensemble de la pièce. Le Docteur essayait désespérément d’atteindre les commandes, mais son corps était balancé de droite à gauche, et il n’arrivait pas à se stabiliser. Jack et Ianto s’accrochaient désespérément aux arcs du Tardis et tentaient d’éviter les nombreux objets volant à travers la salle. Au bout de ce qui me sembla avoir duré cinq bonnes minutes, le Tardis effectua un dernier soubresaut et s’immobilisa.
Nous étions affalés sur le sol du Tardis, chacun dans un coin. Ianto vint à ma rencontre pour m’aider à me relever. J’étais encore dans les vapes après le coup reçu à la tête lorsque j’étais tombée contre la console. Un bruit étrange résonnait dans ma tête, comme si on répétait les mêmes mots sans arrêt, mais que ces mots étaient prononcés dans une langue que je ne connaissais pas.
Ianto : Tu vas bien ? Maud : Heu... Oui, ça devrait aller après une bonne aspirine.
Je m’agrippai à la main que me tendait Ianto et nous nous dirigeâmes vers le reste de l’équipe qui s’était elle aussi relevée. Maud : Docteur ? Que s’est-il passé ? Mais je n’eus pas le temps d’écouter la réponse, une immense douleur me traversa le crâne, comme si on y enfonçait des centaines d’épingles. Voix : ‘ Kaslin yiotr uruka niasim ’ Maud : Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh…………. Voix : ‘ Kaslin yiotr uruka niasim ’ ‘ Kaslin yiotr uruka niasim ’ ‘ Kaslin yiotr uruka niasim ’… Maud : Oh mon Dieu... mais qu’est-ce que c’est ? Ma tête… La douleur était telle que je m’écroulais à terre, Ianto eut juste le temps d’interposer son corps contre la console pour éviter à ma tête un second choc. J’étais allongée contre son torse, les deux mains sur mes tempes, cherchant un moyen de faire partir cette douleur atroce… Jack et Ten : Maud ? Maud : J’ai mal… Ma tête va exploser !!!!!! Ten se pencha vers moi et sorti son tournevis sonique, puis le braqua vers ma tête… Ten : c’est impossible… Jack : qu’est-ce que c’est Docteur ? Ten : ça ne se peut… Ianto : Il faut faire quelque chose, elle ne va pas tenir longtemps ! Voix : ‘ Kaslin yiotr uruka niasim ’ Maud : Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh…………. ‘ Kaslin yiotr uruka niasim ’ Jack : Qu’est ce qu’elle a dit ? Ten : Impossible… Jack : Docteur ? Ten : C’est juste impossible… Maud : ‘ Kaslin yiotr uruka niasim ’ Le Docteur s’élança vers l’écran de contrôle de la console. Jack le rejoignit quelques secondes plus tard et sur les visages des deux hommes, une expression d’étonnement s’afficha. Ten : Nous… Nous… Nous avons voyagé à travers le temps et l’espace… Jack : Docteur, c’est bien ce que je pense ? Ten : Oui, c’est elle, c’est la planète Aliotha… Le Docteur releva les yeux vers moi en essayant de cacher son inquiétude mais il ne trompait personne. Il était terrifié, ce qui ne voulait dire qu’une chose… les ennuis arrivaient… mais je n’étais déjà plus là pour m’en rendre compte…
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| | | Antoinette complétement accroc à John
Messages : 2553 Date d'inscription : 02/10/2009 Localisation : District 12
| Sujet: Re: On the road again ! Sam 15 Mai - 13:49 | |
| Aaaaaaaarf, j'ai passé un moment à chercher des anagrammes de ce que tu répètes en langue inconnue, mais j'ai rien trouvé de cohérent (enfin c'est wordsmith qui a cherché, mais quand même )Bien joué, leur rappeler leurs collègues morts dès le début, ouh... Et Aliotha, ça vient faire quoi dans l'histoire? (je ne me rappelle plus de tous les noms de planètes mentionnés dans DW!!) S'ils ne sont pas sur Barcelona et que tu es en train d'hurler, pourquoi ils ne repartent pas? Chronomètre, hihi... | |
| | | duam78 Admire John
Messages : 182 Date d'inscription : 13/02/2009 Age : 46 Localisation : entre le HUb et ma maison avec mon Tiny mari
| Sujet: Re: On the road again ! Mar 18 Mai - 11:01 | |
| y'a rien à chercher ... j'ai tout inventé ... comme pour Aliotha ^^ | |
| | | missy Fan de John
Messages : 233 Date d'inscription : 12/11/2009 Age : 38 Localisation : nancy
| Sujet: Re: On the road again ! Ven 4 Juin - 19:22 | |
| me voilà pour le commentaire du chapitre 3... shame shame car j'ai mis le temps! - Citation :
- Maud : Ohlà… minute papillon…
ohhhhhhhh, en voilà une manière de lui parler! - Citation :
- Il se figea dans la position qu’il avait prise et qui ne devait pas être agréable… avachi sur la console, une jambe en l’air pour faire contrepoids afin de ne pas tomber et le bras tendu vers le levier d’activation du piston central.
ça doit etre bien comique a voir ça! - Citation :
- Jack : Touché ! (*en français dans le texte)
gniiiiiiiiiiiiiiiii Jack qui parle en français!!!!!!!!!!! il a bien retenu mes leçons privées! - Citation :
- Ten : Vous ne voulez pas venir ?
cmme si un voyage avec lui pouvait se refuser! - Citation :
- A peine avais-je dit cette phrase que je le regrettais déjà.
oulà oui... mauvais choix de termes Maud... - Citation :
- Ianto avait les yeux pleins de larmes, à deux doigts de les laisser couler, ceux de Jack étaient pareil, mais il savait se retenir. Je regardais les deux hommes tour à tour, j’étais triste avec eux, mais également vraiment mal à l’aise…
les pauvres... et quand on sait que le pire est à venir... gros soupir - Citation :
- O..Owen et Tosh nous manquent mais nous continuons pour eux…
pouiky de réconfort! - Citation :
- Pour interrompre le silence pesant qui s’était installé, Le Docteur prit les choses en main.
oui paske ça devient gênant là... - Citation :
- Il m’a contacté et comme à Cardiff, c’est assez calme en ce moment, ils sont venus avec moi, Gwen ayant préféré rester avec Rhys.
un petit voyage pour leur changer les idées^^ - Citation :
- Et comme cela ne me semble pas dangereux, car j’y suis passé il y a quelques temps, en simple visiteur,
dfaçon il dit toujours que ce n'est pas dangereux... - Citation :
- Ten : Barcelona !
ouah s'il l'a dit de la même manière qu'il l'a prononcé à Rose, je fonds.... - Citation :
- Jack : Vous m’aviez prévenu qu’elle vous, heu… nous connaissait bien, mais là, je suis soufflé… Y’en a beaucoup qui savent que vous existez réellement
c'est sur que ça doit faire bizarre!! - Citation :
- Maud : Doucement Cowboy ! Déjà, on n’est pas tout le monde, et je peux vous dire que ni moi, ni Isabelle, ni les autres ne vous « dénonceront », ni vous, Jack, ni le Docteur…
et retranscrire par ecrit ces aventures, ce n'est pas révéler un peu? - Citation :
Et afin de détendre l’atmosphère et d’embêter un peu les deux membres de Torchwood (car quand j’aime bien les gens, je les taquine, j’y peux rien, c’est automatique) ohhhh comme moi, coupine!!!! - Citation :
Maud : Cette histoire de Chronomètre, elle est vraie ? Ianto : Chrono… non… heu… non… Jack : Tu ne sais vraiment pas mentir Ianto … c'est priceless ça!!!! trop fort! - Citation :
Ianto se mit à rougir sous le commentaire de Jack qui affirmait ce que lui voulait infirmer. Jack était fier de sa farce et un sourire éclatant lui barrait le visage. ohhh ils sont vraiment adorables les deux-là! - Citation :
- À peine avais-je fini ma phrase que le Tardis fut secoué de toute part.
oh??? encore une fois, je sens que vous n'allez pas finir à Barcelona! - Citation :
- la tête la première dans un Bang magistral qui résonna dans l’ensemble de la pièce.
ouille ça doit bien faire mal ça!!! à ta place je me serais accrochée à un des gars présents - Citation :
- Au bout de ce qui me sembla avoir duré cinq bonnes minutes, le Tardis effectua un dernier soubresaut et s’immobilisa.
ça c'est un big trou d'air!!! - Citation :
- Ianto vint à ma rencontre pour m’aider à me relever.
quel gentleman! - Citation :
Un bruit étrange résonnait dans ma tête, comme si on répétait les mêmes mots sans arrêt, mais que ces mots étaient prononcés dans une langue que je ne connaissais pas. gné???? - Citation :
- une immense douleur me traversa le crâne, comme si on y enfonçait des centaines d’épingles.
oh merde mais qu'est-ce qui se passe??? - Citation :
La douleur était telle que je m’écroulais à terre, Ianto eut juste le temps d’interposer son corps contre la console pour éviter à ma tête un second choc. c'est flippant... - Citation :
- ’étais allongée contre son torse, les deux mains sur mes tempes, cherchant un moyen de faire partir cette douleur atroce…
ce n'est pas le moment de dire ça, mais sympa la position héhé - Citation :
- Ten se pencha vers moi et sorti son tournevis sonique, puis le braqua vers ma tête…
une consultation du docteur - Citation :
- Ianto : Il faut faire quelque chose, elle ne va pas tenir longtemps !
quel homme prevenant!! - Citation :
Ten : C’est juste impossible… Maud : ‘ Kaslin yiotr uruka niasim ’ mais expliquez nous ce qui se passe!!!! - Citation :
- Ten : Oui, c’est elle, c’est la planète Aliotha…
et?? ça signifie quoi??? allez fini les mysteres, jveux savoir! - Citation :
Il était terrifié, ce qui ne voulait dire qu’une chose… les ennuis arrivaient… mais je n’étais déjà plus là pour m’en rendre compte… ben dis donc ça commence bien mal cette aventure! gros calinou pour toi qui souffre!! | |
| | | duam78 Admire John
Messages : 182 Date d'inscription : 13/02/2009 Age : 46 Localisation : entre le HUb et ma maison avec mon Tiny mari
| Sujet: Re: On the road again ! Jeu 10 Juin - 0:56 | |
| Chapitre 4 - Aliotha- Spoiler:
- Citation :
- Aliotha, 5e planète de la constellation de Karnistia, planète fantôme depuis l’an 151 254 du nouvel ordre cosmique. Elle avait été une planète magnifique au temps de sa splendeur. Les peuples l’habitant étaient de pacifistes humanoïdes, recherchant des alliances marchandes avec les planètes du système. Technologiquement avancée, Aliotha dépassait ses voisines de loin et échangeait volontiers ses connaissances avec d’autres mondes.
C’était sans compter la pire des menaces… La jalousie et la recherche du pouvoir absolu. Le Colonel Artof, chef de Silvunia, la 2de planète de la constellation de Karnistia, cherchait depuis longtemps à s’emparer d’Aliotha, mais sans succès… Les alliances qu’il avait tenté de faire avec les autres planètes avaient toutes échoué, les dirigeants préférant continuer de jouir des bienfaits apportés par Aliotha, plutôt que de les lui voler. Artof n’eut donc plus qu’une seule solution pour s’emparer de ce qu’il voulait, faire renaître une puissante force destructrice et manipulatrice en brisant les sceaux la retenant prisonnière, sachant pertinemment ce qu’elle ferait une fois libre. Détruire, massacrer, anéantir, annihiler toute forme de vie présente. Les vies humaines ne valaient rien pour lui, tant qu’il obtenait le savoir ancestral des Aliothiens, savoir précieusement gardé secret depuis des millénaires.
Artof était alors parti sur la montagne sacrée de Isenlerd, lieu mythologique où aurait été défait la bête. La légende voulait que pour la faire ressusciter, il fallait se sacrifier, avant de renaître et pouvoir la contrôler. Fou de jalousie et d’avidité, le colonel s’était alors immolé au sommet de cette colline. Les rares témoins avaient rapportés qu’ils avaient vu Artof danser et psalmodier tout en étant rongé par les flammes. Ce spectacle funeste aurait duré 5 minutes avant que le corps ne tombe inanimé. Instantanément, un tremblement de terre avait dévasté l’endroit faisant fuir les hommes présents. Des colonnes de fumée s'étaient élevées dans les airs, tourbillonnant inlassablement autour du corps. Le lendemain, Artof fit son apparition au conseil tenu pour désigner son successeur (il avait été déclaré mort suite aux témoignages des bergers). Fou de colère, il jura de se venger, vociférant menaces et insultes envers le conseil qui dû l’enfermer à double tour dans un hôpital psychiatrique, méconnaissant alors l’état d’Artof.
C’est le lendemain que tout commença… une épidémie touchant uniquement les hommes sévissait dans la capitale. Les médecins étaient impuissants, rien n’y venait à bout. Artof s’époumonait dans sa cellule, jurant que si on le relâchait, il réussirait à guérir tout le monde. Au bout d’une quinzaine de jours sans succès, le conseil céda face à son impuissance, et libéra Artof. Celui-ci retourna alors sur l’Isenlerd et invoqua la bête, lui indiquant la cible souhaitée : Aliotha.
En quelques jours, les hommes touchés furent guéris et la vie reprit dans la capitale. Jusqu’au jour où le conseil reçut un appel au secours de leur partenaire commercial Aliotha. Une étrange épidémie, ne touchant que les hommes, sévissait sur l’ensemble du continent. Les morts se comptaient déjà par milliers et les femmes, bien que semblant ne pas être atteintes de la maladie, se comportaient bizarrement. Le haut conseil d’Aliotha avait réussit à se réfugier dans le bunker souterrain, mais déjà les premiers signes de la maladie étaient visibles sur certains des conseillers.
Sur Silvunia, les hauts magistrats savaient pertinemment ce qui se passait. Mais ils étaient pieds et poings liés par Artof qui avait prit le contrôle de la cité. Un des conseillers avait cependant réussi à se faufiler jusqu’à la salle des communications et avait lancé un SOS intersidéral, espérant que quelqu’un vienne les sauver, eux et la planète Aliotha.
Le SOS fut reçu par un homme, un voyageur solitaire, le dernier de son espèce. Lorsqu’il avait entendu l’alarme de son vaisseau, il avait été tenté de ne pas y répondre. Que pouvait-il y faire, lui qui n’avait pas réussit à sauver sa propre planète… Mais au fond de lui, subsistait une faible lueur d’espoir et de volonté. Il entra alors les coordonnées reçues avec la demande d’aide et lança les moteurs.
Son vaisseau se matérialisa dans la cour arrière d’un grand bâtiment austère. Lorsqu’il sortit, un homme accouru à sa rencontre, le suppliant de l’aider lui et son peuple. Il le fit entrer dans le vaisseau, et là il écouta attentivement le récit de l’homme. Au fur et à mesure qu’il écoutait ce récit, le voyageur devenait de plus en plus livide. C’était impossible. Ces créatures avaient été défaites lors d’une guerre commune des millénaires auparavant et son peuple avait effacé des mémoires collectives toute trace de leurs existences. Afin qu’elles ne réapparaissent plus jamais, leurs noms avaient été effacés et l’incantation permettant de les ressusciter avait été détruite. Mais il ne pouvait pas mettre en doute ce que lui disait l’homme. Ils avaient donc échoué. Un spécimen de la Bête avait réussi à renaître et il était le seul à pouvoir tenter de l’arrêter, là où apparemment ses semblables avaient échoué. Il actionna les capteurs dimensionnels et essaya de récupérer des informations sur l’état de la planète Aliotha. Ce qu’il vit lui glaça le sang… les 2/3 des habitants mâles étaient déjà morts et le 1/3 restant était sur le point de succomber. Seules les femmes étaient épargnées, mais cela n’annonçait rien de bon.
Il était trop tard pour les sauver. La seule solution était de condamner à jamais l’accès à la planète, ce qui empêcherait la bête de s’en prendre à d’autres mondes, mais ce qui signifiait également le sacrifice de millions de vies innocentes. A nouveau, il était devant ce choix cornélien… mais à nouveau, il savait qu’il n’avait pas le choix. Il pianota sur le clavier de la console et mit en place une camisole dimensionnelle autour de la planète. Un horrible hurlement résonna alors dans l’espace, venant de la bête qui avait comprit, un peu tard, qu’elle venait de se faire piéger.
‘ Kaslin yiotr uruka niasim ’ C’était il y a une éternité… Mais le Docteur n’avait jamais oublié… Et voilà qu’il entendait cette phrase à nouveau, dans la bouche de celle à qui il avait promis un voyage tranquille et sans problème.
| |
| | | missy Fan de John
Messages : 233 Date d'inscription : 12/11/2009 Age : 38 Localisation : nancy
| Sujet: Re: On the road again ! Ven 18 Juin - 17:25 | |
| Bon moi je suis prête pour la suite de l'aventure! Alors j'embarque de suite^^ - Citation :
- Aliotha, 5e planète de la constellation de Karnistia, planète fantôme depuis l’an 151 254 du nouvel ordre cosmique.
à tes souhaits! enfin planète fantôme? ca veut dire quoi? qu'elle est vide? - Citation :
- La jalousie et la recherche du pouvoir absolu.
ah ça.. c'est la même chose partout! L'attrait du pouvoir... - Citation :
- Le Colonel Artof,
il a déjà un nom de méchant je trouve. - Citation :
- les dirigeants préférant continuer de jouir des bienfaits apportés par Aliotha, plutôt que de les lui voler
des braves gens eux! - Citation :
- Détruire, massacrer, anéantir, annihiler toute forme de vie présente.
et à quoi ça sert d'avoir le pouvoir sur une planète vide? - Citation :
- Fou de jalousie et d’avidité, le colonel s’était alors immolé au sommet de cette colline.
il est bien atteint lui. Il n'a pas peur de devenir lui-même la bete?? - Citation :
- Le lendemain, Artof fit son apparition au conseil tenu pour désigner son successeur
oups vlà l'ambiance... - Citation :
- qui dû l’enfermer à double tour dans un hôpital psychiatrique
et hop une petite camisole... - Citation :
- une épidémie touchant uniquement les hommes sévissait dans la capitale.
erf quelle horreur... - Citation :
- Celui-ci retourna alors sur l’Isenlerd et invoqua la bête, lui indiquant la cible souhaitée : Aliotha.
drôle de manière de guérir tout le monde hein... - Citation :
- En quelques jours, les hommes touchés furent guéris et la vie reprit dans la capitale.
ohhh! je pensais pas qu'il le ferait. - Citation :
- Une étrange épidémie, ne touchant que les hommes, sévissait sur l’ensemble du continent.
il l'a refilé aux voisins... - Citation :
- Le SOS fut reçu par un homme, un voyageur solitaire, le dernier de son espèce.
ohhh je vois de qui il s'agit héhé! - Citation :
- Mais au fond de lui, subsistait une faible lueur d’espoir et de volonté. Il entra alors les coordonnées reçues avec la demande d’aide et lança les moteurs.
il n'a pas pu résister. c'est tout lui ça. - Citation :
Il le fit entrer dans le vaisseau, et là il écouta attentivement le récit de l’homme. il ne va pas aimer ce qu'il va entendre. - Citation :
- Au fur et à mesure qu’il écoutait ce récit, le voyageur devenait de plus en plus livide.
qu'est-ce que je disais... - Citation :
- Afin qu’elles ne réapparaissent plus jamais, leurs noms avaient été effacés et l’incantation permettant de les ressusciter avait été détruite.
mal effacés on dirait... - Citation :
- il était le seul à pouvoir tenter de l’arrêter, là où apparemment ses semblables avaient échoué.
encore et toujours ça repose sur lui... - Citation :
- les 2/3 des habitants mâles étaient déjà morts et le 1/3 restant était sur le point de succomber.
c'est déjà bien mal parti là... - Citation :
- La seule solution était de condamner à jamais l’accès à la planète, ce qui empêcherait la bête de s’en prendre à d’autres mondes, mais ce qui signifiait également le sacrifice de millions de vies innocentes
quelle horreur! encore une fois sacrifier des vies... - Citation :
- Un horrible hurlement résonna alors dans l’espace, venant de la bête qui avait comprit, un peu tard, qu’elle venait de se faire piéger.
calinou au docteur qui doit encore une fois en avoir gros sur la patate. - Citation :
- Et voilà qu’il entendait cette phrase à nouveau, dans la bouche de celle à qui il avait promis un voyage tranquille et sans problème.
ah oui c'est bel et bien la merdasse... mal parti tout ça!! | |
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