Si vous ne voulez pas de spoilers pour l'émission du samedi 28 août, PASSEZ VOTRE CHEMIN.Enregistrement n°6 (dimanche 8 août)BBC Scotland, un superbe bâtiment, moderne… et l'entrée est impressionnante. Ça a déjà l'air sympa quand JB nous raconte ce qui se cache derrière la fameuse pierre rouge, mais en réalité, en face du grand escalier, on se sent petit. On aperçoit dans les niveaux supérieurs les tuyaux apparents qui courent sur les plafonds. Au rez-de-chaussée (et peut-être ailleurs?), on peut voir un couloir entièrement vitré jusqu'au sol qui relie deux points stratégiques… en hauteur.
Juste avant que les spectateurs puissent entrer dans le studio TTN, des agents de sécurité vous font écarter les bras pour passer un détecteur de métaux un peu partout ; une fois que c'est terminé, on peut enfin s'avancer vers l'entrée de la salle. Sauf que… ça bouchonne (bah oui, faut bien que tout ce petit monde s'installe). Tout le monde est en grande conversation avec son voisin ou sa voisine et moi, je soupire en regardant le couloir suspendu. Et au même moment, JB s'avance dans le couloir, superbe dans son tee-shirt rouge (Iron Man je crois). Lui, il regarde vers le bas. Sans que je m'en rende compte, mon bras gauche s'est levé et je suis en train de lui faire signe. Quelques dixièmes de secondes plus tard, j'ai un peu honte de mon geste (même si c'est pas ma faute, c'est mon bras, pas moi!) et c'est là que JB me répond en faisant signe à son tour! Je lui fais un sourire béat (je suppose…), il avance jusqu'à ce qu'il tombe sur deux amis et entame une conversation. D'ailleurs, il touche énormément les gens quand il parle, il est super tactile (ou alors ces deux-là sont des petits veinards).
Je jette un coup d'œil à gauche, un coup d'œil à droite, personne n'a vu JB en l'air et je suis ravie de notre tête-à-tête manuel (main à main?).
Quand on arrive sur le plateau de TTN, deux choses sont marquantes : le plafond (oui je sais, j'ai toujours la tête en l'air) et la taille. Il y a des tonnes de matériel suspendu au plafond, des spots énormes sur des bras articulés, de longs micros qui descendent vers les sièges… et le studio est tout petit. Même au dernier rang (pas de bol, hein), on n'a pas l'impression d'être loin de la scène. Et la scène elle-même paraît bien plus courte qu'à la télé.
À gauche, l'entrée-tunnel ronde entourée de LED, au centre la scène avec un écran comme fond et à droite, la fameuse "cible" lumineuse où JB court pour faire ses lancements / installe la personne du public qui est à l'honneur.
Taryn, la
floor manager, donne quelques consignes, le chauffeur de salle (Kevin, il a un accent terrrrrrrible) se met au boulot et les spectateurs aussi : on applaudit debout, assis, en souriant, sans sourire, enfin bref, on se trémousse même sur des bandes-son.
JB arrive, le public hurle, je suis éblouie (littéralement
) D'un tee-shirt rouge, il est passé à un costume noir. Noir, mais "boule à facettes". Entièrement couvert de sequins. C'est l'
ultimate shiny suit, plus brillant on ne trouve pas. Et ça se voit qu'il adore son costume. Il raconte que quand il était gamin, il voulait que sa grand-mère Murn lui en fabrique un ("Mais qu'est-ce que tu ferais avec?") et il est fier de l'avoir sur lui pendant l'enregistrement. Il nous dit même qu'il se voit bien chanter IAWIA dedans. Mais que c'est le costume du dernier show, pour finir en feux d'artifices, et qu'il va se changer.
Il prévient aussi, avec son drôle d'accent écossais, que lorsque la caméra sera sur lui il passera en mode
all-American boy, qu'il ne faut pas faire attention.
Il garde encore le costume noir un petit moment ; chaque fois qu'il se déplace, il caresse sa veste, fait de grands pas solennels, il nous fait même découvrir le nouveau Captain Jack à paillettes (c'est-à-dire lui, tout brillant, faisant semblant de brandir un pistolet) et pleure de rire à l'idée de se retrouver comme ça devant le Doc.
C'est là que je comprends à quel point il est pro jusqu'au bout
des orteils de ses longues chaussures vernies. Il papillonne sur le plateau, fait le clown, rigole de ses bêtises, salue certaines personnes, monte dans le public pour aller glisser quelques mots dans l'oreille de son mari (ah oui! SG! J'y reviens plus tard…
) et à la seconde où le prompteur tourne, c'est comme si on avait affaire à quelqu'un d'autre. Il a l'air calme mais enjoué, son débit est net et précis (et franchement, je crois que les spectateurs sont aussi scotchés que moi).
Le fameux costume lui sert aussi pour enregistrer une (voire des) bande(s)-annonce(s) pour les
Lottery Awards. Il demande quelques changements sur le prompteur pour une question de rythme, fait plusieurs essais (
oh, that was rubbish, wasn't it? avec un sourire désarmant). Taryn demande d'autres versions parce qu'on lui a commandé des
variations. Là, j'ignore si ce qui a été tourné va être diffusé, mais ça vaut de l'or!! JB refait le même speech mais version "je suis la plus grande folle de la planète" (
What do you think… gayer?), puis en mec bourru un peu menaçant ; c'est à mourir de rire et il fait ça avec une facilité déconcertante.
Le deuxième costume, celui du show n°6, paraît bien discret en comparaison. Je vous passe les histoires des gens mis à l'honneur, vous avez vu ça de toute façon. Mais ce qui est bizarre, c'est que tout est filmé deux fois. Que ce soit la jeune fille qui fait un duo avec Kerry Ellis ou le type qui chante avec un mort, les deux ont droit à un second passage. Si les deux (enfin les trois) chantent avec autant d'émotion/de conviction, je trouve ça un peu gênant d'entendre JB leur reposer la même question.
Soit dit en passant, Kerry Ellis a l'air d'être adorable. Elle a pas mal plaisanté avec JB, et vocalement…
JB est à deux doigts de repartir avec sa robe à paillettes. Pour le 2e passage du duo, il faut à nouveau remplir la scène avec une bonne couche de fumée. Heureusement, JB nous apprend qu'il n'y a rien à craindre, que la fumée est inoffensive (à part deux ou trois weevils et cybermen planqués dedans!) D'ailleurs, ce n'est même pas une machine à fumée, ce sont quatre
wee men qui tirent sur des cigarettes et puis soufflent, soufflent… JB nous fait une démonstration du
wee man qui tire sur sa cigarette et le public est effondré de rire.
Ça ne tourne pas beaucoup, donc il faut passer le temps. JB a apparemment un stock d'histoires drôles. Il raconte en détails la fois où il a commandé un
shite McFlurry dans un McDo californien (
shite, c'est la version écossaise de
shit et les Américains ne savent pas ce que ça veut dire…). Il explique gentiment à la dame que c'est avec du caramel, qu'il faut mettre des trucs dedans pour que ça fasse des morceaux… enfin vous voyez le tableau.
En soi, c'est pathétique, mais il raconte tellement bien que le public est à nouveau hilare (moi comprise, arf) et il précise que devant un public écossais, on ne peut pas se tromper avec du
toilet humour.
On se rend compte petit à petit qu'il y a pas mal de Barrowman dans la salle (la famille de son père assiste à tous les enregistrements j'ai l'impression). Il torture gentiment son oncle devant tout le monde, le présente comme son
gay uncle qui est venu avec son
much younger partner (en fait un autre membre de la famille, le p'tit comique!) Mais celui qui a la plus grosse surprise, c'est son petit cousin (si j'ai bien tout suivi), Greg Barrowman. Il le fait venir sur scène, le présente (jusque là, le cousin est zen) comme un étudiant en comédie et chant à Glasgow et dit que si quelqu'un peut prendre sa suite, c'est bien lui. Et là, il commence une petite parenthèse sur le fait qu'il aime donner des opportunités aux gens, a fortiori s'ils sont de sa famille (oh, j'ai envie de le prendre dans mes bras quand il dit des trucs pareils
) et en 2 secondes, il lui offre son public et le jeune Barrowman se retrouve avec un micro entre les mains!
À voir sa tête, il ne s'y attendait pas le Greg.
)" longdesc="8" /> Il demande à JB ce qu'il va chanter et JB lui répond "Everything" en faisant signe à l'orchestre. Eh ouais, quand c'est pas Daniel, c'est Greg. Il est plutôt pas mal, il chante bien, mais pas de quoi déchaîner les foules pour l'instant. En tout cas, il a été dûment auditionné (et choisi) par JB et Gavin pour jouer dans la panto en décembre. Donc vous verrez deux Barrowman pour le même prix.
D'autres anecdotes by JB pour divertir le public. Il explique que lorsqu'ils prennent l'avion, SG a aussitôt le nez plongé dans le journal, mais que lui ne rate jamais une miette des consignes de sécurité. Lors d'un vol Londres – Glasgow, il réalise avec horreur qu'on lui montre comment se débrouiller avec le gilet de sauvetage alors qu'ils… ne vont pas survoler d'eau!
Il en fait la remarque au steward qui lui dit froidement qu'océan ou pas, s'ils s'écrasent, ils sont morts. Autant dire qu'il a passé un mauvais vol.
Ma préférée de toutes ses anecdotes, c'est celle de son 1er vol en 1re classe avec SG. Même s'il n'est pas fan du moyen de transport, il essaie de se la jouer cool en première classe (c'est à peu près à l'époque de CPW). Jusqu'à ce qu'il se persuade… qu'il y a un trou dans la carlingue. Paniqué, il en parle à SG (qui s'en fiche et a un peu honte) puis il appelle une hôtesse de l'air. Qui le regarde comme un malade mental. Il insiste, lui demande de regarder, se met à quatre pattes pour lui indiquer le pseudo trou dans l'avion. On a même droit à une imitation de l'hôtesse de l'air qui lui saisit le poignet pour le calmer et le faire se rasseoir. Et qui lui dit en passant que non, il n'y a pas de trou, parce que s'il y en avait un…
You'd be sucked! JB pleure de rire, le public n'en peut plus, même SG rigole de bon cœur.
Ah, SG, parlons-en. On n'est pas gêné de voir que son homme c'est le producteur exécutif : lui, il a le droit de porter un jean, des baskets et de faire joujou avec son téléphone. La plupart du temps, il est blasé, il a l'air de s'ennuyer plus qu'autre chose. Faut dire, 6 fois le chauffeur de salle (aussi gentil/doué soit-il), ça calmerait n'importe qui.
Pour passer le temps, JB demande aussi aux gens s'ils ont des questions à lui poser. Pour moi, c'est Noël! Mais il n'y a quand même pas grand monde qui profite de l'occasion. Les questions ne sont pas captivantes captivantes, donc je ne me rappelle plus trop, sauf d'un monsieur de ma rangée avec qui il a parlé Queen et tatouages (JB aime bien Queen et il a dit au mec que la tête de Freddy Mercury sur son bras était chouette… sûrement parce qu'il est poli).
Je lui demande s'il a déjà choisi ses costumes pour la tournée. Ouiiiiiiii! Je lui ai posé une question!
Devant tout le monde en plus. Dingue. C'est sans doute parce que je m'étais préparée psychologiquement pour… le National Theatre.
)" longdesc="8" />
Non, pas encore choisi. Il boucle TTN, se prend deux semaines de vacances à Cardiff avec son homme (il précise qu'il va le rendre dingue et ça fait bien rire le principal intéressé) et ensuite il va se pencher sur le problème avec sa sœur, qui va l'aider pour le contenu et ses interventions entre les chansons. J'ose même une question de "follow-up" :
Will there be a dress? Il fait une mimique façon Zaza coquine et répond
Oh, you never know…. Mon Dieu.
Autre passage marquant, la famille de la dame qui travaille dans le salon de thé sur "She's the one". La petite fille qui soudainement embrasse JB puis entreprend de lui caresser consciencieusement le visage. Lui, il est aux anges, il est gaga devant la gamine et tout le monde est attendri de les voir. À part une personne - à qui j'ai furtivement jeté un œil – qui affichait un visage fermé. Mais fermé, hein. À la fin, JB prend SG à témoin en disant qu'il va "passer commande pour en avoir deux du même modèle". Et la salle (toute entière cette fois
) est hilare.
Une autre fierté de la part de JB : le duo avec Matt Monro.
At TTN, we're now raising the dead! Ça lui plairait bien de chanter avec Judy Garland. Et il nous dit aussi qu'ils croisent les doigts pour une
series 3 parce qu'ils ont décidément de bons
ratings.
Not that it matters because at BBC we just wanna make good TV. Suivi d'une mimique qui suppose tout le contraire…
Même chose quand il nous assure que oui, les actrices de DH sont adorables.
Parfois, TTN ça continue même quand on ne tourne pas. Quelqu'un des coulisses (enfin une des nooooombreuses personnes massées à l'entrée du studio, par où les spectateurs sont entrés) vient lui apporter un message. Une certaine X (son prénom m'échappe) a passé une mauvaise année (sa mère est morte d'un cancer) et c'est son anniversaire alors ce serait une bonne surprise que JB lui fasse la bise. JB va donc dans le public à la rencontre de X, lui demande comment elle va, si elle a pris soin de sa maman, si elle est partie
peacefully, lui dit qu'elle est une
good daughter, lui fait la bise. X en a les larmes aux yeux en répondant à ses questions.
Deux prestations supplémentaires de JB, yes! Ils doivent recommencer "I gotta feeling". JB admet que c'est de sa faute (il n'a pas bien chanté… mais je n'ai rien remarqué, moi) puis ajoute avec un petit sourire que c'est vraiment rare qu'on doive refaire quelque chose à cause de lui.
Et à ma grande joie, ils doivent aussi recommencer le numéro final "Conga/Turn the beat around", j'ai a-do-ré. Impossible de ne pas se trémousser (et pour que je me trémousse en public, faut déjà qu'il y ait une sacrée ambiance…) Les paillettes des robes, les effets pyrotechniques, on en prend plein les yeux.
Pour ce qui est des oreilles, le seul événement traumatisant, c'est le duo Ellis/May. À la TV ça passe pas mal, mais alors en direct, je n'ai qu'une envie : fuir! Le vacarme était à la limite du supportable.
Comme toutes les bonnes choses ont une fin, il faut quitter le studio. À ce stade, je suis presque contente parce qu'il faut vraiment (vraaaaaaaaaaaiment) que je passe aux toilettes.
JB nous remercie encore une fois, disant que nous avons été
the most important part of the show. Il n'a pas l'air fatigué, pas le moins du monde, on dirait qu'il peut enchaîner avec un 2e tournage. J'ai l'impression que tout s'est passé sans heurts, que tous les gens impliqués dans TTN étaient contents d'être là.
Une fois tous les spectateurs sortis du studio, il y a une joyeuse agitation dans le hall de la BBC. Peu à peu, les techniciens, les danseurs, la famille de JB, tout le monde discute puis rentre chez soi. La jeune fille qui a chanté avec Kerry Ellis est ravie qu'on la félicite sur sa prestation. Je vois le fameux Rui qui descend l'escalier avec un sourire jusqu'aux oreilles (ah, JB en Mission Impossible
).
Au bout d'un moment, on n'est plus qu'une quinzaine à attendre (que des nanas… et 2 ou 3 mecs qui font partie de l'entourage de JB je suppose). L'homme qui monte la garde devant les portes en verre en bas du grand escalier vient nous parler, à ma mère et à moi. Il veut savoir si on a aimé le show, d'où on vient et il nous dit qu'il y a encore un enregistrement le jeudi.
Plus tard, une femme bondissante (je crois que c'est Teresa du Talk) franchit le portique et vient parler avec l'agent de sécurité. Je les écoute discrètement et l'homme lui dit qu'il y a même deux Françaises dans le hall (à ce moment-là, je me sens très… exotique!
)
Finalement, JB passe les portes de verre. Les fans sont rassemblées autour des deux piliers qui traversent le hall… ce qui fait que techniquement, il n'y a personne entre lui et l'entrée principale du bâtiment, aaaaaaaargh!! Tout le monde est debout, mais personne ne bouge (ou ne parle d'ailleurs) et c'est lui qui se dirige vers un des deux groupes. Il explique à la cantonade qu'il va d'abord signer tout ce qu'il y a à signer et qu'ensuite il posera pour les photos. Il est d'une patience et d'une douceur… c'est hallucinant à regarder. Il discute avec chaque personne, plaisante plusieurs fois qu'il ne faut pas lui parler pendant qu'il écrit
I'm not a woman, I can't multi-task! Et est-ce que j'ai déjà mentionné qu'il était beau? On ne peut pas se contenter de dire qu'il est mignon ou qu'il a du charme, ce mec est beau à couper le souffle. Il est démaquillé, probablement douché et il porte une veste de survêtement, il est mince, bien foutu et absolument magnifique. (Oui, je sais, je n'ai pas la moindre critique à émettre!)
Quand il arrive à notre hauteur, je rassemble tout mon courage pour essayer de tenir une conversation cohérente. Ma mère lui demande s'il compte un jour venir faire un concert en France (et insiste sur le fait qu'on a dû aller "jusqu'en Écosse!" pour le voir… oh que c'est vilain!) Il nous répond que pour ce genre de questions, il faut s'arranger avec Gavin. Je lui raconte qu'il a de plus en plus de fans français, qu'il existe d'ailleurs un forum qui lui est consacré. Il a l'air surpris, et content aussi. Je lui dis qu'on essaie de le faire connaître, qu'il y a de plus en plus de membres. Et comme JB ne perd jamais le nord, il s'empresse d'ajouter
Ooooh, but you should get in touch with the girls in charge of my website, they could link you! Je lui réponds que c'est impossible, il me regarde d'un air dépité en me demandant pourquoi. J'explique que c'est son site officiel, qu'ils ne peuvent en aucun cas cautionner un forum où on met par exemple des liens vers youtube. Il hoche la tête et dit que dans tous les cas, il nous remercie de faire ce qu'on fait. (Je sais, j'aurais dû lui faire comprendre que c'était tout le contraire, que
nous le remerciions d'être comme il est… mais c'est pas évident de garder le fil alors qu'il glisse çà et là des mots en français dans la conversation…)
JB qui dit des mots en français, mon Dieu… Il commence à expliquer (des fois qu'on ne comprenne pas l'anglais?
) que les
photos c'est après les… et il fait semblant de signer ; si on mourait d'une overdose de
cuteness, je serais morte plusieurs fois. Je ne pense pas à lui demander s'il a étudié le français à un moment ou à un autre de sa scolarité, mais il m'a l'air bien motivé pour quelqu'un qui n'en aurait jamais fait…
Pour ce qui est de la photo avec lui, je me demande pendant une bonne seconde si oui ou non je mets mon bras autour de sa taille ( --> évidemment que oui!
). Et franchement, quand on est collé à lui, on se rend bien compte qu'il est parfaitement proportionné et musclé. Pfiou.
On va dire que je m'attarde encore sur des détails, mais il a même minci des mains, elles paraissent plus longues.
Je lui parle aussi chiffons. J'insiste sur le fait que s'il récupère bien un costume de la Cage pour la tournée, il faut que
please, please, please ce soit la petite robe blanche.
En parlant de Zaza, il dit à tout le monde qu'il ne faut pas hésiter à écrire à Tonner pour qu'ils fabriquent d'autres Zaza ; il a l'air tellement content de la sienne qu'il veut que tout le monde en ait une! Et apparemment, ce n'est pas la 1re poupée qu'il fait fabriquer chez eux.
Quant à Gavin… (bah oui, je suis allée voir Gavin du coup!), ce mec est a-do-rable. D'ailleurs, je suis pas persuadée que c'était le même type qui faisait le pit-bull au National Theatre. Il est chou! (oui, j'ose, "chou" et "Gavin" dans la même phrase
) En plus, lui, il est habillé classe, un chouette costume gris qui lui va à ravir. Pour ce qui est du concert à Paris, ça leur a déjà traversé l'esprit, c'est clair. Mais le problème c'est de trouver une date dans l'emploi du temps de malade de JB (pas le fait qu'ils pensent que personne viendrait).
Oh, il a même dit que j'étais
sweet parce que je lui ai parlé de l'interview qu'il avait donnée sur le site officiel de JB.
J'en déduis que si un jour je papote avec Jodie Prenger, je vais aussi flasher sur elle! )" longdesc="8" />Quand on est reparties vers la voiture (d'ailleurs, on s'est fait une frayeur avec cette histoire de jetons…), on n'entendait presque pas le joyeux groupe de JB qui se dirigeait vers leur voiture dans le parking de la BBC… mais JB qui hurlait et faisait le clown, oui!
Bon, j'ai peut-être oublié des détails (ou des fautes), y aura des changements. J'attaque la suite!